Bonjour à tous et à toutes, je suis ravie de vous retrouver aujourd’hui pour vous parler de ma dernière lecture : LA DERNIERE ALLUMETTE de Marie Vareille. Je remercie chaleureusement les éditions Charleston pour l’envoie… Plus
Bonjour à tous ! Aujourd’hui on se retrouve pour parler de TWIN CROWNS de Catherine Doyle et Katherine Webber le premier tome d’une duologie qui s’annonce trépidante. Avant toutes choses, je tiens à remercier NetGalley… Plus
Aujourd’hui est un grand jour pour moi car j’inaugure mon blog !!! (*clap clap clap*)
Déjà, merci à toi qui es en train de lire et qui es surement en train de te demander sur quoi tu as (encore) cliqué ! Lire la suite de « Aeternalis »→
Aujourd’hui, on se retrouve pour parler de l’une de mes dernières lectures de l’année 2023, j’ai nommé UNE EVIDENCE de l’auteure Agnès Martin-Lugand, qu’on ne présente plus, je crois.
Aujourd’hui je viens (enfin) vous faire ma chronique du roman BABEL de R. F. Kuang, qu’on ne présente plus ! Je tiens à remercier NetGalley et les éditions De Saxus de m’avoir permis de lire ce roman qui me tentait tant.
Traduttore, traditore : un acte de traduction est toujours un acte de trahison 1828. Un jeune orphelin chinois est recueilli à Canton par un professeur et conduit à Londres. Rebaptisé Robin Swift, le jeune garçon consacre ses journées à l’étude des langues dans l’optique d’intégrer le prestigieux Institut royal de traduction de l’Université d’Oxford, plus connu sous le nom de Babel. Berceau de l’argentogravure, les étudiants y exploitent le sens perdu des mots à l’aide de barres d’argent enchantées. Dès ses premiers jours à Oxford, Robin prend conscience que ces travaux confèrent à l’Empire britannique une puissance inégalée et servent sa soif de colonisation, au détriment des classes défavorisées de la société et de ses territoires. Servir Babel revient donc à trahir sa patrie d’origine. Peut-il espérer changer Babel de l’intérieur ? Ou devra-t-il sacrifier ses rêves pour faire tomber cette institution ?
BABEL est un roman écrit par une personne brillante. C’est riche, c’est profond, c’est terriblement détaillé et terriblement intéressant. C’est un roman qui nous narre une histoire et qui nous apprend bien des choses intéressantes sur les langues, les mots, les expressions et leurs origines. Mais pas seulement.
BABEL c’est l’histoire d’un enfant né à Canton, en Chine, dont la famille périe au cours d’une épidémie de choléra. Alors qu’il agonise un homme anglais, le Professeur Lovell, le sauve et l’emmène en Angleterre où il l’élève comme son pupille. Mais pas sans contrepartie. Cet enfant, Robin Swift, devra étudier et devenir ce que veut l’étrange professeur Lovell : un traducteur hors pair. Pendant des années, il travaillera son latin, son grec, son anglais et son chinois pour que, une fois adulte, il puisse intégrer la prestigieuse université d’OXFORD et plus précisément BABEL, la tour abritant l’institut royal de traduction où les chercheurs travaillent sur de mystérieuses barres d’argent aux pouvoirs inimaginable.
C’est à l’université que Robin rencontrera sa classe, sa « nouvelle famille » ; Ramy, Victoire et Letty. Et c’est là que tout commence vraiment.
BABEL traite principalement du sujet de la traduction. Il y a beaucoup d’explications, de notes, de faits. On en apprend beaucoup sur l’origines des mots, de certaines expressions c’est très intéressant. Mais il aborde des sujets bien plus vaste ; la colonisation anglaise, le racisme, la bêtise humaine …
Les personnages sont très, très attachants alors même que leurs pensées ne sont pas plus développées que cela, mais au fils des pages (et il y en a beaucoup) on comprend petit à petit leur mode de pensée et leurs choix. Je les ai aimés, détestés et j’ai tremblé avec eux. C’est une histoire qui est d’abord très lente, très descriptive, pendant de longueeeees pages on se demande où tout cela nous mène mais finalement, passé la moitié, tout s’accélère et les drames s’enchaînent. L’auteur nous entraîne dans une histoire qui dépasse l’entendement ; le sujet est mondial et se sent impuissant.
C’est tellement grand, tellement « trop », que la fin du roman semble inachevée, on se demande « et après ? que ce passe-t-il après? ». Mon cœur s’est brisé plus d’une fois sur ce roman, j’ai eu mes petits nerfs à vif pendant une partie et la fin m’a laissé avec un gout doux-amer.
C’est un livre qui est profond, qui veut faire passer des messages forts et qui est écrit avec beaucoup d’intelligence et de soin. C’est un travail remarquable que je ne saurais que conseiller aux amoureux des mots.
Aujourd’hui je vous retrouve pour parler de ma dernière lecture bien de saison, j’ai nommé ANATOMY, a love story de Dana Schwartz qui m’attendait bien sagement depuis Noël dernier sur mes étagères.
Édimbourg, 1817. Hazel est une jeune aristocrate à l’avenir tout tracé. Promise à un cousin, son rôle est de se préparer à devenir une épouse dévouée et soumise. Pourtant, Hazel rejette cette fatalité. Passionnée de médecine et aspirante chirurgienne, elle décide de braver les interdits liés à son sexe et à sa classe sociale pour suivre en secret des cours d’anatomie. C’est alors qu’elle fait la rencontre de Jack, un voleur de cadavres travaillant pour le compte de l’université où elle étudie. À ses côtés, elle se sent plus libre et audacieuse que jamais. Et quand elle découvre que certains grands chirurgiens et membres de l’aristocratie réalisent d’étranges expériences sur les cadavres, elle décide de mener l’enquête…
J’ai adoré ma lecture.
Ce roman nous plonge dans un Edimbourg du XIXe siècle, on y rencontre Hazel une jeune femme de la haute société qui n’a qu’une passion ; l’anatomie. Elle veut devenir chirurgien, ne rêve que de ça alors même que son destin est tout tracé : elle épousera son cousin Bernard et deviendra la nouvelle Lady Almont.
Et puis il y a Jack Currer, un jeune résurrectionniste (c’est à dire qu’il déterre des corps pour les fournir aux anatomistes). En vérité, même à la fin du roman, on en sait peu sur son passé.
Tout naturellement, ces deux-là vont se rencontrer, travailler ensemble et plus si affinités. Et affinités il y aura.
J’ai adoré Hazel, sa passion peu conventionnelle pour l’époque, sa détermination et sa force de caractère. C’est un personnage féminin fort, qui ne se laisse jamais dicter sa conduite. Les seuls moments où elle plie, sont les moments où la pression sociale est trop forte et on comprend ses tiraillements, ses obligations et la difficulté de son cas. Même si parfois elle était un peu trop intrépide, je me suis laissée séduire à 100% par sa personnalité.
Concernant Jack, on en sait peu, mais ce qu’on voit de lui suffit. C’est un travailleur, un romantique au fond de son petit cœur d’artichaut et un homme courageux. J’ai aimé le duo qu’il formait avec Hazel même si, à lui tout seul, il reste un peu plus terne que la flamboyante Hazel qui éclipse tout ; c’est notre vedette.
J’ai vraiment apprécié ma lecture, ce n’est pas un coup de cœur intersidéral, mais c’était prenant, glauque juste comme il faut et vraiment intéressant dans la construction du récit.
Si l’on croit d’abord lire une fiction abordant le dur sujet de l’anatomie avant les débuts légales des autopsies, le roman prend une tournure un peu exceptionnelle vers ses derniers chapitres. Mais je n’en dirais rien.
Bonjour à tous, aujourd’hui on se retrouve pour parler de THE FIVE CROWNS d’A. K. Mulford publié aux éditions SLALOM que je remercie, avec NetGalley, pour la réception du roman.
Depuis le massacre de sa famille et de son peuple, Remy a dû apprendre à cacher ses pouvoirs pour survivre et accepter une vie de fugitive, clandestine, chaotique et incertaine. Aussi se croit-elle perdue lorsqu’elle est capturée pour ses dons de sorcière rouge par un prince fae, connu pour sa vie dissolue et ses prouesses guerrières, Elle ne tarde pourtant pas à découvrir que les intentions de cet homme sont plus complexes qu’elle ne le craignait et surtout loin d’être innocentes à son égard, ce qui la surprend mais n’est pas tout à fait pour lui déplaire…
De ce que j’ai compris, ce livre a connu un grand succès, notamment grâce à tiktok ! Personnellement, avant de le découvrir sur NetGalley, je n’en avais pas du tout entendu parler et le résumé, à lui seul, m’a convaincu.
On découvre dans ce roman Remy, une sorcière rouge, survivante d’un massacre organisé. Remy vit dans un monde divisé en cinq royaumes dont l’un est tombée lors du massacre de sa famille. Depuis 14 ans, elle se cache et tente de survivre malgré la chasse à la sorcière rouge. Jusqu’au jour où sa route croise celle du Prince Fae, héritier du royaume de l’Est.
The Five Crowns est un roman où la fantaisie se mêle, à part égale à la romance. D’un côté nous suivons une quête à travers tous les royaumes, d’un autre nous suivons un joli schéma d’ennemies-to-lovers comme on les aime.
J’ai vraiment été séduite par la conception du monde ; le mélange des humains, des faes et des sorciers étaient vraiment intéressant. J’ai aimé les complots politiques, les retournements de situations et les secrets révélés au fur et à mesure de l’histoire. J’ai beaucoup apprécié le fait que l’auteur.e laisse quelques indices, ça et là, pour permettre au lecteur de trouver par lui-même certain rebondissement.
Les personnages ne vous laisserons pas non-plus indifférent. Remy a un sacré caractère, elle sait ce qu’elle veut, sait ce qu’elle cache et pourquoi. J’ai beaucoup apprécié son côté téméraire et courageux.
Hale, notre prince bâtard lunatique, était parfois un peu cliché, mais il est de ce genre de personnage qu’on ne peut pas détester ! Il est courageux, il sait ce qu’il veut (peut-être un peu trop vite mais soit) et fait avancer l’histoire.
Ce roman à l’avantage incroyable de ne connaitre aucun temps mort ! Je ne savais parfois pas où m’arrêter car les actions s’enchainent rapidement, les objectifs sont rapidement atteints et on n’a pas le temps de tourner autour du pot ! L’écriture était simple, captivante et addictive. C’est un page-turner qui se laisse dévorer en quelques petites soirées de lecture.
Je vous le conseille mille fois si vous avez aimé ACOTAR où Le Prince Cruel, par exemple !
Je vous le déconseille si vous n’aimez pas les romances rapides, les ennemies-to-lover ou les histoires faes.
Bonjour à tous, aujourd’hui on se retrouve pour parler de ma meilleure lecture de l’année (je crois). J’ai nommé : CE ROYAUME TISSÉ de la Reine Tahereh Mafi.
Tahereh Mafi, vous la connaissez certainement. C’est l’auteure de la saga INSAISISSABLE ! Mais aussi de NOS HORIZONS INFINIS.
Cette autrice, je l’aime énormément, car elle possède une écriture qui frôle souvent la poésie. Elle me touche d’une manière singulière que j’ai rarement retrouvé dans les fictions, surtout fantastiques. Tout est beau. Je vois de l’art dans ces mots et j’adore. Et là, avec CE ROYAUME TISSÉ, c’était d’une beauté littéraire que je ne saurais décrire ; la beauté des descriptions, des évènements, des personnages, c’était absolument parfait.
Aux yeux des habitants d’Ardunia, Alizeh est une servante comme les autres, invisible, insignifiante. Nul ne se doute qu’elle est l’héritière d’un ancien royaume djinn, pièce maîtresse d’une prophétie prédisant la libération de son peuple. Traquée depuis toujours, elle a passé sa vie à se cacher pour survivre. Jusqu’au jour où elle commet une erreur… Kamran, le prince héritier du trône d’Ardunia, a entendu la prophétie annonçant la mort prochaine de son grand-père. Ne voulant pas devenir roi, il se doit de trouver la menace et de l’éliminer. Ses soupçons se posent immédiatement sur une servante aux yeux étranges dont il a croisé la route un matin et qu’il a vue repousser un agresseur sans effort. Jamais il n’aurait pu imaginer que cette éblouissante jeune femme, qu’il ne peut chasser de son esprit, allait un jour bouleverser son royaume et le monde tout entier.
J’ai lu beaucoup d’avis négatifs sur ce roman, et je n’en partage aucun.
J’ai adoré l’histoire, j’ai adoré sa lenteur, la découverte des personnages, les longues descriptions de leurs combats internes et les évènements frénétiques de la fin. On découvre d’abord Alizeh, une jeune Djinn orpheline qui, pour se survivre et se fondre dans la société, est engagée comme servante snoda. Elle passait inaperçu jusqu’à être repéré par le Prince du royaume lui-même. De-là, catastrophe sur catastrophe autant pour l’un que pour l’autre. Elle va devoir changer ses plans et il va devoir apprendre une vérité que son grand-père gardait pour lui depuis longtemps. Entre histoire de Diable, Reine légendaire, Prince torturé et magie ancienne, on est emporté dans un royaume, non, dans un monde aux multiples secrets.
Alizeh est une héroïne vraiment surprenante au caractère peu commun. J’ai aimé ne pouvoir anticiper beaucoup de ces réactions. J’ai aimé ces conflits internes et sa bienveillance forte. C’est un personnage puissant et fort que j’ai hâte de voir évoluer.
Kamran est un protagoniste intéressant. Aux premiers abords j’ai eu un petit peu peur qu’il ne soit trop « brun ténébreux » mais il a un véritable caractère, bien trempé, bien conflictuel envers lui-même, bien comme on les aime.
En vérité, ce n’est pas un roman très rocambolesque, toute l’action se concentre à la fin. Il y a des rebondissements, mais globalement les 3/4 du livre sont beaucoup de descriptions, de mise en place de l’univers, de découvertes des caractères de tous. J’ai adoré les origines données aux djinns et à leur chute.
C’est un roman vraiment intéressant que je conseillerais mille fois. Je n’attends plus que le tome 2 soit traduit en français.
D’ailleurs, mention spéciale aux traducteurs qui ont fait un magnifique travail.
Je le conseille : A ceux qui ont aimé La Cité de Laiton mais qui l’ont trouvé trop long. A ceux qui avaient adoré Insaisissable. Aux fans de MAFI en général. A ceux qui aiment à la folie les histoires fantastiques légendaires où même le Diable à sa nouvelle genèse.
Je le déconseille : A ceux qui aiment les livres fantastiques comportant beaucoup d’action. A ceux qui n’aiment pas les fins ouvertes. A ceux qui n’aiment pas les descriptions longues.
Aujourd’hui on se retrouve pour parler de ma dernière lecture LES SEPTS MARIS D’EVELYN HUGO de Taylor Jenkins Reid publié chez les éditions Hauteville. Je l’ai lu directement après DAISY JONES & THE SIX et je ne regrette pas. Cette lecture fut excellente et je vais t’expliquer pourquoi.
À l’aube de ses quatre-vingts ans, Evelyn Hugo, légende du cinéma, est enfin prête à dire la vérité sur sa vie aussi glamour que scandaleuse. Mais quand cette actrice, vieillissante et solitaire, décrète qu’elle fera ces révélations à Monique Grant, journaliste pour un obscur magazine, personne ne comprend son choix. La journaliste décide de saisir cette occasion pour lancer sa carrière. Elle écoute avec fascination l’histoire de cette actrice mariée sept fois….
Quand on ouvre ce livre pour la première, on a en tête ce titre déconcertant ; sept maris, tout de même, c’est un beau palmarès ! Et un résumé intriguant qui ne laisse présager l’histoire qui se cachent entre les pages. On découvre d’abord Monique Grant, une journaliste travaillant pour un magasine mais n’ayant pas encore le poste ou les articles de ses rêves. Jusqu’au jour où sa chef la convoque dans son bureau : Evelyn Hugo, l’actrice aux sept maris et à la beauté fatale veut faire un article avec elle et elle seule ! Monique se rend donc chez cette star planétaire et découvre alors l’impensable ; Evelyn Hugo ne veut pas d’article dans son magasine. Non. Evelyn veut que Monique écrive ses mémoires, qu’elle les publie à sa mort et qu’elle révèle enfin tous ses secrets … empochant au passage une belle somme d’argent et une belle notoriété.
Pourquoi elle ? Pourquoi maintenant ? Il vous faudra lire le livre jusqu’à ses dernières pages pour le découvrir. Et, spoiler, c’est quelque chose.
C’est donc à travers l’interview et les conversations entre Monique Et Evelyn que nous découvrons l’histoire incroyable de la grande actrice Evelyn Hugo. Une femme forte et déconcertante qui n’aura jamais eu peur de faire ce qu’il fallait pour réussir. Elle se veut choquante, provocante mais est, en réalité, tellement touchante. Et quand on comprend ce qu’il se cache derrière ses succès, ses mariages et son visage parfait, on ne peut rester longtemps indifférent à ce destin.
J’ai adoré livre ce livre que l’on voudrait être une réelle biographie.
Evelyn Hugo est un protagoniste comme on en découvre peu. Elle a mille et une facettes que l’on découvre au fur et à mesure de l’histoire, que l’on comprend peu à peu. C’est un personnage fort et impactant qui n’aura de cesse de surprendre. Pour le meilleur et pour le pire.
Je vous recommande chaudement ce livre qu’on ne présente plus sur les réseaux sociaux ! Je suis d’ailleurs surprise de n’avoir pas vu d’énormes spoils sur la vérité derrière ce titre. Et heureusement, le fait de ne s’attendre à rien rend la lecture tellement plus savoureuse.
Je vous le recommande : Si vous aimez l’auteure Taylor Jenkins Reid. Si vous aimez le concept de livre-interview. Si vous souhaitez vraiment être surpris (plus d’une fois) par les évènements lors de votre lecture.
Je vous le déconseille : Si vous n’aimez pas la fiction. Si vous n’aimez pas les paillettes et le vaste un peu superficiel de la notoriété.
J’ai lu et adoré DAISY JONES & THE SIX de TAYLOR JENKINS REID publié aux éditions 10-18.
De quoi ça parle ?
Ce livre est écrit comme un documentaire télévisé, sans narrateur, juste des témoignages à la suite de différents protagonistes principaux, secondaires et même tertiaires. J’avoue que quand j’ai découvert cela, j’étais un peu dubitative, mais je me suis rapidement laissée prendre par l’histoire, les personnages et j’ai vite rangé mes doutes au placard.
Dès le début, l’histoire et l’intrigue principale sont posées : Daisy Jones & The Six a été l’un des plus gros groupes de rock du monde, jusqu’à son dernier concert spectaculaire après lequel ils se sont séparés.
Pourquoi ? Comment ? Directement on VEUT connaitre toutes les réponses et l’auteure gardera tout cela bien ficelé jusqu’aux révélations finales qui arrivent petit à petit.
Les personnages de ce roman sont explosifs et rendent l’histoire forte en tension car on ne sait jamais ce qu’ils vont faire. Avec eux, on craint toujours le pire … et, souvent, on voit juste. Ce sont des personnages riches, profonds, que l’auteure n’enjolive pas, ni n’épargne. Ils sont humains avec tout ce que cela implique.
Cette histoire est passionnante, vibrante et l’on ressentirait presque, à travers les pages, les vibrations rock de leur musique. J’ai passé un incroyable moment et je vous le recommande vivement !!
Attention, je préfère vous prévenir que ce livre est très fort, émotionnellement, les personnages sont mis à rude épreuve. La drogue, les addictions ont une grande place dans le récit.
C’est un livre qui nous fait vivre intensément à travers un groupe de rock voué à atteindre des sommets, à marquer les esprits.
Je le recommande : Aux fans de l’auteure A celles/ceux qui aiment vraiment beaucoup la musique A celles/ceux qui sont intrigués par le format du récit
Je le déconseille: A celles/ceux qui ne veulent pas lire des romans abordant des sujets difficiles telles que les addictions A celles/ceux qui n’aiment pas le format « interview », mais tentez-le quand-même c’est vraiment pas mal 😉
Aujourd’hui je viens vous parler de LA LETTRE PERDUE de JIM BISHOP publié chez les éditions GLENAT.
LA LETTRE PERDUE est un splendide roman graphique qui nous immerge dans un monde imaginaire où les espèces aquatiques vivent avec les humains ou Mr et Mme DUBOIS sont une palissade et où les facteurs sont des poissons-clowns à l’humour douteux.
On rencontre Iode, un jeune garçon qui attend désespérément une lettre de sa mère qui n’arrive jamais. Alors qu’il se rend en ville pour tenter d’avoir des renseignements à l’agence postale, il tombe sur Frangine, une jeune fille au fort tempérament qui a pour mission d’amener une mallette (contenant on ne sait quoi) d’un point A à un point B sans interaction avec personne.
De cette rencontre, tout arrive en catastrophe accumulée.
C’était beau à lire et splendide à scruter. Les dessins sont colorés, vifs, intenses et vous provoquent des émotions rapidement. Je l’ai lu en une heure environ et j’ai passé un excellent moment. C’était loufoque, drôle, tragique aussi et tellement, tellement touchant. Au final, le livre aborde des sujets difficiles mais avec un code couleur inverse à la gravité des émotions. J’ai adoré vivre toutes ces émotions en quelques pages et j’ai hâte de lire MON AMI PIERROT, du même auteur.
Je vous le recommande : Si vous aimez la couleur et la beauté de scènes dessinées. Si vous aimez lorsque des sujets forts sont abordés un peu à contrepied. Si vous voulez vous immerger dans un monde loufoque pour quelques pages.
Je vous le déconseille : Si vous n’aimez pas les BD. Si vous êtes un peu déprimé en ce moment. (Gardez-le pour plus tard)
Bonjour à tous, non ce n’est pas un rêve, ceci est bien un article !
Lily, depuis que sa fille Emerson est née, lui a promis que le cycle de la violence s’arrêterait avec elles. Que jamais plus, les femmes de leur famille n’endureraient des abus. Alors elle a pris la décision de quitter son mari et père de sa petite fille. Elle ne s’attendait pas à croiser Atlas, son amour d’adolescente par hasard, et elle ne sait pas quelle place il pourrait occuper dans sa vie.
J’ai lu et adoré A TOUT JAMAIS de Colleen Hoover publié chez Hugo New Roman. Ce livre fait suite à l’incroyable JAMAIS PLUS qui a connu une popularité énorme sur les réseaux sociaux. J’avais fait une chronique à l’époque que vous pouvez retrouver ici.
Colleen Hoover explique dans une note au début du livre qu’à l’origine elle ne souhaitait pas revenir sur ses personnages. Mais l’engouement était tel, le public a tant réclamer qu’elle s’est décidé à se lancer dans une suite, afin d’offrir à ses personnages un peu plus de bonheur.
J’ai adoré cette lecture. J’avais peur en la commençant d’être déçue. JAMAIS PLUS avait été une lecture tellement forte et riche en émotions que je me demandais comment passer ensuite. Mais elle l’a fait avec intelligence.
Elle ne nous offre pas un bonheur tout prêt dès les premières pages, il y a encore dans ce livre de la tension et des passages difficiles. Ce n’est pas le même degrés de violence, mais ça en reste et cette espèce d’attente du pire était encore là, à chaque coin de page.
Les personnages sont fidèles à eux-mêmes. Lily et Atlas sont adorables, forts et vraiment mignons. Il y a dans leur relation, un coté très pur que j’ai beaucoup aimé. Le contraste entre leur relation et celle de Lily/Ryle était vraiment fort.
Alysa, la sœur de Ryle est le personnage qui me laisse le plus dubitative car je n’arrive pas vraiment à la trouver réaliste. J’aime ce que l’auteure en fait ; une personne juste qui ne place pas son affection avant la réalité des actes. Mais je ne suis pas certaine de la trouver à 100% convaincante.
Comme toujours, c’était très bien écrit. Les CoHo sont des turn-over A CHAQUE FOIS. Il y a de beaux messages, de beaux moments et une fin qui nous lisse avec un sentiment de paix pour les personnages. Je ne suis pas certaine qu’une telle réalité puisse être vraiment réelle mais j’ai aimé y croire.
Je vous le conseille, ce roman n’entachera pas vos souvenirs de JAMAIS PLUS, au contraire.
L’avez-vous lu ? Les commentaires sont ouverts, n’hésitez pas 😉
Bonjour à tous, aujourd’hui, le blog reprend du service ! C’est avec émotion que j’ai rouvert l’onglet « ajouter un article » après tant de temps resté loin du clavier !
Cet été j’ai eu le plaisir de lire LES REVES DE NOS MERES, suivi, DES CENDRES SOUS LES COQUELICOTS de Carine Pitocchi. Une duologie qui deviendra bientôt une trilogie !!
Je vais vous laisser le résumé du premier tome ci-dessous, histoire de ne pas spoiler la suite et je vous parlerais globalement de mon avis en dessous, sans ne rien vous dévoiler de l’histoire !
Aeternalis 